10 avril 2011
Immobile
Je te vois si malheureux.
Alors quand moi brule un feu de joie.
je voudrait allummer une brindille dans ce regard triste.
Mais à peine s'est-elle enflammé qu'elle s'éteint.
J'aimerait te preter mes yeux pour que ta perception s'éclaire .
Afin que tu vois ta vie tel qu'elle est pour moi: précieuse et non definitive.
Mais je ne peut que te regarder t'écorché, te raper la peau pour oublier.
un effort de sourire,d'idiotie ,de rire ,...en vain .
L'eclispe ne prend jamais fin.
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